La newsletter Franco 🇫🇷 - Suisse 🇨🇭 qui fait briller les experts cachés et qui propulse ton business.

A propos de moi (et de la genèse de cette newsletter).

Bonjour, je suis Fabien Moutier.

J’ai 42 ans. Je travaille dans le digital marketing depuis 15 ans.

De la petite entreprise pépère 🥱 en passant par la start-up énervée 😵‍💫 jusqu’à la très grosse entreprise 🤩 (mon rêve pro à l’époque), j’ai connu pas mal d’expériences !

J’ai connu tous les débuts :

• Les débuts de Facebook (où tout le monde créait des pages pour tout et n’importe quoi).

• Les débuts d’Instagram (où tout le monde postait des photos de son assiette).

• Les débuts de Twitter (il n’y avait pas tous les bots russes, c’était sympa).

• Le début du SEO (où acheter le nom de domaine acheterappartement.com suffisait à faire de toi SeLoger.com).

• Les premiers iPhones (à l’époque, il y avait des changements fous entre deux versions).

• Le début de YouTube (qui était surtout une base de données de vidéos de chats).

• Les gifs animés (où l’on passait un temps fou à trouver LE gif qui allait faire marrer les devs comme la graphiste).

• Les débuts de LinkedIn (il n’y avait rien de bien intéressant à lire ou à faire, à part retrouver ce que pouvait bien faire dans la vie sa première “amoureuse” de CP.

On y passait deux fois par an et ça allait bien).

Nos anciens stagiaires ont pris le contrôle des réseaux.

Ce dont je ne me rendais pas compte à l’époque, c’est que ma génération a vu tous ces nouveaux outils, mais ceux qui les ont fait exploser, ce sont mes stagiaires…

Vous vous souvenez des étudiants hésitants, qui textotaient en douce… et…

… Non, mise à part un stagiaire qui ne se lavait pas, ne comptez pas sur moi pour dire du mal d’eux. Ils étaient engagés, brouillons (parfois plus que moi), créatifs souvent (parfois plus que moi), et ils ont fait le job. J’ai vraiment aimé les avoir.

Ce dont je me rends compte, c’est que la plupart des personnes de mon âge n’ont pas su profiter des réseaux sociaux pour le business.

Soyons honnêtes, les millions de vues sur YouTube, ça n’existait pas vraiment pour la thématique business en 2010 pour un francophone.

Faire un vrai business uniquement avec Instagram, YouTube ? On n’a pas su le faire, eux si.

La faute à qui ? (Ou grâce à quoi?)

À l’éthique ? Vendre un OnlyFans ou des formations bidon ? Nous, on n’y pensait même pas ? Mouais… Caricatural…

• Aux algorithmes ? Les réseaux, en termes de fonctionnalités mais surtout de reach, c’était vraiment exploratoire. Honnêtement, lancer du contenu sur les réseaux et expliquer son ROI à son boss à l’époque, c’était comme expliquer le métavers à ses parents aujourd’hui. On faisait genre on maîtrisait, mais en fait, on ne pouvait pas franchement l’expliquer.

• À la liberté ? Ce dernier point, celui du ROI supposé nul à l’époque, fait qu’on a volontairement délaissé ces canaux. Traduire le contenu fait uniquement pour eux était rare.

On regardait des vidéos amateurs de mauvaise qualité, des rediffusions de clips vidéo, des extraits de films, des bandes-annonces…

Les véritables créateurs de contenus dédiés aux réseaux sont principalement nés dans les chambres d’ados, se filmant en train de jouer aux jeux vidéo, danser, faire des activités…

Les stagiaires ont grandi. Ils sont rentrés dans l’univers du travail et devinez quoi ?

Certains ont apporté leurs habitudes pour les réseaux, voire ont voulu en vivre et/ou en profiter.

En vérité, ils ont préparé le terrain.

Ma génération a rendu utile les sites Internet.

La nouvelle a rendu utile les réseaux sociaux.

En vérité, mes stagiaires ne sont pas plus intelligents que nous, et on n’est pas moins bête qu’eux.
On avait aussi autre chose à faire et eux beaucoup de temps libre.

Les réseaux sociaux ont grandi.

Les fonctionnalités ont évolué

Grâce à quoi ?

C’est particulièrement grâce à ces premiers milliers de créateurs de contenus désintéressés, qui ont généré l’adhésion par l’intérêt et le volume.

A force de tester des concepts, les recettes qui marchent ont émergé.

La génération de données par la massification des contenus et des interactions a complètement affiné les algorithmes en quête perpétuelle d’adhésion.

Résultat plus besoin de faire des millions de vus pour toucher sa cible.

De mon côté, comme beaucoup d’entre vous, j’ai vécu toutes ces déferlantes, j’ai pris la vague de quelques-unes et j’en ai laissé d’autres, j’en ai appris beaucoup.

Je vous propose aujourd’hui de prendre le bus des réseaux sociaux (version daron).

Aujourd’hui je suis convaincu d’une chose, toutes ces plateformes, ces amuses pousses boutons (expression de daron) de l’époque sont devenus de véritables armes !

Si on rajoute à cela:

• Le format short vidéos verticale (Le hack pour rentrer dans le cerveau de vos clients)

• La complémentarité des plateformes par format ( LinkedIn / Youtube / Instagram / Newsletter) qui agissent comme des véritables tunnels d’acquisition sur-puissants.

• L’automatisation et l’IA : Qui permettent d’en faire plus et mieux.

Pour les raisons invoquées précédemment,

les réseaux sociaux ont tout pour être utiles et rentables.

Deux critères qui vont droit au cerveau des entreprises et qui imposent ce constat:

Il y a 10 ans, pour une entreprise peu importe la taille, il fallait absolument avoir un site internet

Aujourd’hui il faut absolument être présent sur les réseaux sociaux et incarner.

Tout cet écosystème a mûri, comme moi (comme vous).

Comme moi toutes ces plateformes, ces réseaux sociaux ont fait des choix (parfois imposés).

Comme moi leur jeunesse impressionnante a laissé place à

une utilité,

une pertinence,

du recul

une maîtrise.

La revanche de la génération X sur les réseaux passera par la mise en valeur de leur expertise.

…et par la défense du concret contre le superficiel.

Les réseaux sont donc utiles, indispensables, performants.

Nous la génération X nous sommes loin d’avoir dit notre dernier mot.

Le côté influenceur nous révulse bien plus que d’autres générations.

Nous avons acquis des expertises dans des domaines variés. ( On s’est même parfois un peu cherché).

Comme une armée tapie dans l’ombre qui s’entraîne depuis 10 ou 20 ans voir plus nous sommes prêts à prendre notre part sur les réseaux.

Il nous manque parfois une chose, de la visibilité !

Cette newsletter s’adresse à tous les dirigeants d’entreprises, aux entrepreneurs qui se retrouveront dans cette description et qui se disent,

j’y vais,

je veux contribuer

j’accélère !

Cette newsletter est destinée aux jeunes, aux moins jeunes qui souhaitent :

Moins d’influenceurs et plus d’experts sur les réseaux.

Cette newsletter est destinée à ceux qui souhaitent moins d’influenceurs et plus d’experts sur les réseaux.

Elle est là pour vous, pour vous rendre visible, pour révéler tous les talents cachés qui permettront d’ajouter notre pierre à des réseaux moins clivants, où l’on apprend de ceux qui ont une véritable expérience, faite de succès, d’échecs et de temps..

Place aux experts ! ! 🚀